Un doc (Arte) sur le #bois consommé par #Ikéa, pas du tout issu d’une exploitation durable des #forêts, qui est en quelque sort le prolongement du doc d’Hugo Clément sur les #coupesrases dans les forêts françaises, l’autre jour. Il semble clair (même ce sont des docs militants) que l’exploitation industrielle des forêts, là maintenant, à l’instant t, est TRÈS éloignée d’un modèle soutenable et souhaitable. Il serait temps d’en prendre conscience. Les catastrophes environnementales sont nombreuses, et l’image positive et rassurante des bienfaits du « bois » est tellement trompeuse ! L’exploitation soutenable des forêts est un savoir ancien. Y revenir !
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#CoupesRases
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Forêts du périgord en danger : M. le préfet, durcissons la réglementation des coupes rases !
Les coupes rases se multiplient partout dans le département et les forêts sont peu à peu transformées en monocultures de résineux.
Là où une forêt diversifiée, complexe et vivante s’épanouissait jusqu’à peu, les arbres sont abattus massivement. Le sol est mis à nu et déstructuré par les passages répétés d’engins lourds et surdimensionnés, labouré après l’arrachage des souches (...).
Cela doit cesser !
Aujourd’hui dans notre département les coupes rases sont très peu encadrées et en-dessous de 4 hectares aucune autorisation n’est exigée, ce qui concerne une majorité des chantiers de notre département !
Source : SOS Forêt Dordogne
#foret #deforestation #stopcoupesrases #coupesrases #Dordogne #Perigord #NouvelleAquitaine
La forêt vous appelle : agissons !
Face à la course folle vers la destruction de nos forêts, et donc de notre avenir, les citoyens vont devoir montrer leur désaccord profond avec la politique de gestion forestière défendue par l’état sous pression du lobby de l’industrie forestière.
On l’a vu, une opinion majoritairement défavorable peut parfois faire infléchir des politiques contestées. Encore faut-il que ce refus soit visible et entendu !
C’est pourquoi SOS Forêt Dordogne a eu l’idée de lancer une campagne où chacun⋅e montre son refus des coupes rases. Il suffit de vous photographier avec l’affichette « Stop coupes rases » de l’association, que vous trouverez sur notre site : https://sosforetdordogne.fr/manifestez-votre-refus-des-coupes-rases
participation est primordiale : vous êtes opposé⋅es aux coupes rases : montrez le !
Votre
Source : SOS Forêts Dordogne
#foret #deforestation #stopcoupesrases #coupesrases #Dordogne #Perigord #NouvelleAquitaine
Pour améliorer l'adaptation de ses #forets au changement climatique, l'Allemagne évite les #coupesrases s'appuie sur la #regeneration naturelle et la #biodiversite OfficeFrançaisdelaBiodiversité https://www.canopee.ong/le-media/analyses/adaptation-des-forets-au-changement-climatique-lallemagne-mise-sur-la-resilience-des-ecosystemes/
Canopée · Adaptation des forêts au changement climatique : l'Allemagne mise sur la résilience des écosystèmes - CanopéePour améliorer l'adaptation de ses forêts au changement climatique, l'Allemagne évite les coupes rases, s'appuie sur la régénération naturelle et la biodiversité.
Le Limousin : front de la lutte contre l’exploitation industrielle des forêts françaises
« On ne peut pas couper des arbres qui ont 50 ou 100 ans pour faire du bois-énergie qui va être dilapidé en 15 secondes ! »
Des oppositions à la gestion industrielle des forêts émergent un peu partout en Limousin : procédures judiciaires pour empêcher des coupes rases, tentatives de blocages de chantiers forestiers, manifestations, etc. Début octobre, pour la « mobilisation nationale pour des forêts vivantes », entre 2000 et 3000 personnes s’étaient déplacées jusqu’à Guéret : un nombre important pour cette ville de 12800 habitants, chef-lieu du deuxième département le moins peuplé de France. Ils étaient venus affirmer leur opposition aux « mégaprojets industriels » qui menacent les forêts limousines.
Lire l’article : https://lareleveetlapeste.fr/le-limousin-front-de-la-lutte-contre-lexploitation-industrielle-des-forets-francaises/
Quand une coupe rase prive d’eau potable un hameau corrézien
Depuis trois ans, les habitants du hameau de Drouillat ne peuvent plus boire l’eau de leur source, dont le taux d’aluminium a grimpé en flèche et dépasse désormais largement les normes de santé publique, après l’abattage de résineux à proximité du point de captage. Un cas qui pourrait n’être pas isolé sur le plateau de Millevaches.
Extrait :
Le hameau, comme une bonne partie du Limousin, repose sur un socle géologique cristallin, de granite et de gneiss, qui produit des sols acides et riches en aluminium. « Là-dessus, l’exploitation intensive de la forêt a apporté un surcroît de matière organique et d’acidité, qui dissout les couches supérieures du sol et libère l’aluminium dans l’eau », explique Gilles Guibaud, chimiste et directeur du laboratoire E2Lim à Limoges.
Un facteur aggravant a alourdi la note : « À Drouillat, s’ils en étaient restés à la coupe rase, on aurait eu un impact modéré. Mais le dessouchage a labouré le sol en profondeur, facilitant l’accès de l’aluminium aux drains du captage », indique le chercheur.
#eau #penurie #Deforestation #CoupesRases #IndustrieForestiere #Limousin #MontagneLimousine #plateauDeMillevaches #Correze #Drouillat
Lire l’article (
) : https://www.mediapart.fr/journal/france/270724/quand-une-coupe-rase-prive-d-eau-potable-un-hameau-correzien
Dans le parc naturel de Millevaches (Limousin), les industriels font feu de tout bois
Déjà encerclé par les scieries, les industries du papier et les centrales à biomasse, le massif forestier du Limousin suscite aujourd’hui la convoitise du producteur de pellets Biosyl, qui prévoit de construire fin 2024 une grande usine à Guéret.
Extrait :
C’est une drôle de carte qu’a publiée le mois dernier le Syndicat de la montagne limousine. Représentant le parc naturel régional (PNR) de Millevaches et ses quelque 3450 kilomètres carrés d’espaces essentiellement boisés (...).
Sur la carte du militant écologiste, quatre dragons menacent la forêt. Au sud, « Piveteau l’insatiable », dont l’usine Farges Bois, à Égletons (Corrèze), consomme déjà 300 000 mètres cubes de résineux par an, et projette de doubler sa production pour devenir le premier scieur de France d’ici à 2026 (...).
À l’ouest, dans la Haute-Vienne, « Sylvamo l’intouchable » avale chaque année 1,4 million de tonnes de bois à dominante de feuillus dans son usine à papier de Saillat-sur-Vienne, tandis que Bois et scieries du Centre (BSC), basé à Sauviat-sur-Vige, utilise 200 000 mètres cubes de résineux par an pour ses activités de sciage, confection de granulés et production d’énergie et d’électricité.
Au nord, enfin, un quatrième dragon, Biosyl, projette d’installer son antre dans la périphérie de Guéret (Creuse). Le producteur de pellets (...), qui dispose déjà de deux usines en Auvergne et en Bourgogne, prévoit de tirer annuellement 160 000 mètres cubes de bois de la forêt limousine, et ce dès 2025.
Lire l’article () : https://www.mediapart.fr/journal/france/250724/dans-le-parc-naturel-de-millevaches-les-industriels-font-feu-de-tout-bois
La forêt gronde : le photovoltaïque sur nos toits, pas dans nos bois !
Plateau de Balerne, samedi, 22 juin (00:00)
https://agendaecolo.fr/event/la-foret-gronde-le-photovoltaique-sur-nos-toits-pas-dans-nos-bois
Enquête - Planter 1 milliard d’arbres : comment le plan de Macron rase des forêts
Le projet du gouvernement de planter 1 milliard d’arbres est « une supercherie », dénoncent des associations. D’après des documents obtenus par Reporterre (@Reporterre@mastodon.social ), il servirait à financer des coupes rases et à industrialiser la filière. Une enquête diffusée en partenariat avec l’émission « La Terre au carré », de Mathieu Vidard, sur France Inter.
L’État plante des arbres pour mieux raser des forêts. C’est la réalité cachée du projet de plantation de 1 milliard d’arbres vanté par Emmanuel Macron. Dix-huit mois après son annonce en grande pompe, au lendemain des incendies de l’été 2022, le plan qui avait pour ambition de « renouveler 10 % de la forêt française » et de « réparer la nature » montre un tout autre visage : les millions d’euros d’argent public déversés dans la filière servent de prime aux coupes rases et transforment des forêts diversifiées en monocultures résineuses (…).
Le rapport indique que 15 millions de plants d’arbres auraient été replantés sur 10 000 hectares de forêts qualifiées de « pauvres » par le gouvernement. Ces forêts rasées étaient en réalité « saines et bien portantes », assure l’association Canopée, qui a enquêté sur le terrain. Des coupes rases sur 6 500 hectares auraient même été réalisées en zone Natura 2000. Sur ces surfaces dévolues d’ordinaire à la protection du vivant, 1 500 hectares auraient été ensuite plantés exclusivement en pins douglas, une essence prisée par les industriels.
Lire l'article : https://reporterre.net/Planter-1-milliard-d-arbres-comment-le-plan-de-Macron-rase-des-forets
"Le projet du gouvernement de planter 1 milliard d’arbres est « une supercherie », dénoncent des associations. D’après des documents obtenus par Reporterre, il servirait à financer des coupes rases et à industrialiser la filière."
Par Gaspard d’Allens : https://reporterre.net/Planter-1-milliard-d-arbres-comment-le-plan-de-Macron-rase-des-forets
Reporterre · Planter 1 milliard d'arbres : comment le plan de Macron rase des forêts
Limousin : 30 juin, mobilisation pour des forêts vivantes, contre les méga-projets de Biosyl à Farges
Le massif forestier limousin est assailli de toutes parts (…). Depuis ces dernières années, les coupes rases se multiplient, encouragées par les subventions à la plantation du plan France relance. Les engins forestiers détruisent les sols, les grumiers abîment les routes, et les usines transforment ce bois en pellets, en palettes, en papier toilette, en piscine, en bois d’œuvre de la transition – ne nous laissant que des terres nues (…).
En Limousin, deux grand projets entendent accélérer les coupes et favorisent la logique de la coupe rase suivie de la plantation. D’une part, ces méga-projets participent à la conversion de nos forêts vivantes de feuillus en champs d’arbres résineux modelés pour l’industrie. D’autre part, l’usage local de la ressource se tarit, les petites unités de sciage ferment les unes après les autres.
L’usine FargesBois à Egletons veut s’étendre pour doubler sa production et devenir la plus grande scierie de France. A ce titre, elle accentue la pression de coupe sur les plantations résineuses de la montagne limousine à un rythme qui excède le renouvellement de la ressource. Biosyl veut installer une de ses usines à Guéret pour produire 85 000 tonnes de pellets par an, issus à 80 % de forêts de feuillus (…).
Le dimanche 30 juin 2024, l’assemblée des forêts vivantes et de nombreux collectifs locaux appel à un grand rassemblement à Guéret, pour empêcher l’installation de Biosyl, enterrer l’extension de Farges et pour laisser la place aux petites unités existantes ou à venir.
CONTRE l’accaparement des forêts CONTRE les méga-projets industriels en Limousin POUR des forêt vivantes et habitées Mettons un coup d’arrêt à Biosyl et Farges !
- 10h : Conférence de presse sur le site de Biosyl
- RDV 12h : Pique-nique festif au Jardin des Communs
- 14h30 : Départ de Manifestation
Infos et appel : https://megascierienonmerci.org/30-juin/
Ils achètent des forêts pour éviter les coupes rases et sauver la biodiversité
"En Périgord, des particuliers se regroupent pour sauver des parcelles forestières d'une exploitation industrielle nuisible à la biodiversité".
#france #environment #forêt #CoupesRases #arbre #biodiversité
France 3 Nouvelle-Aquitaine · Ils achètent des forêts pour éviter les coupes rases et sauver la biodiversité
De l'eau potable contaminée par une pollution à l'aluminium après des coupes rases sur le plateau de Millevaches
"L'exploitation forestière intensive, et les coupes rases, sont à l'origine de la pollution à l'aluminium de plusieurs captages d'eau potable sur le plateau de Millevaches, selon une étude de l'Université de Limoges. Une consommation excessive d'aluminium pourrait entraîner des maladies neurodégénératives.".
France 3 Nouvelle-Aquitaine · De l'eau potable contaminée par une pollution à l'aluminium après des coupes rases sur le plateau de Millevach
Coupes rases et monoculture : enquête sur les pratiques de la plus grande coopérative forestière française
Le 7 juillet 2023 à Bordeaux, quinze activistes de Canopée sont venus rapporter et déposer devant le siège de la coopérative forestière, Alliance Forêts Bois, un engin utilisé par l’entreprise pour raser une forêt dans la Vienne et la remplacer par une monoculture de pins. Cette pratique, loin d’être un cas isolé, est révélatrice de la stratégie de cette entreprise qu’elle refuse d’assumer publiquement comme le révèle cette enquête de Canopée.
De tous les côtés, les appels à réviser en profondeur notre politique forestière se multiplient. Les alertes citoyennes, les rapports scientifiques ou ceux des parlementaires s’accumulent et convergent vers la nécessité d’encadrer les coupes rases et de placer la biodiversité au cœur de la gestion forestière. De nombreux acteurs de la filière forêt-bois sont prêts. Le principal obstacle est aujourd’hui, l’entêtement d’Alliance Forêts Bois à défendre une sylviculture du passé.
#forets #coupesrases #industrieforestiere #AllianceForêtsBois #monoculture #Vienne
Présentation sur Canopée :https://www.canopee.ong/le-media/enquetes/coupes-rases-et-monoculture-notre-enquete-sur-les-pratiques-de-la-plus-grande-cooperative-forestiere-francaise/ Télécharger le rapport : https://www.canopee.ong/wp-content/uploads/2023/10/canopee-enquete-afb-oct-2023.pdf
Politique forestière : s’appuyer sur les écosystèmes existants plutôt que raser et replanter
Canopée a coordonné l’écriture de cette tribune, soutenue par déjà plus de 600 scientifiques, acteurs de la filière forêt-bois, responsables associatifs et élus locaux. Elle a été publiée dans le journal Le Monde, mercredi 25 octobre 2023.
Dans les prochaines semaines, le gouvernement doit rendre ses derniers arbitrages concernant la place de la forêt dans la planification écologique.
Nous, scientifiques, acteurs de la filière forêt-bois, associations, appelons à une refonte de notre politique forestière pour l’adapter aux enjeux des urgences climatiques et de préservation de la biodiversité.
Nos forêts souffrent des premiers effets du changement climatique, mais au-delà de ce constat partagé, le gouvernement peine à fixer un cap clair (…).
Les premiers éléments dévoilés par le gouvernement concernant la place de la forêt dans la planification écologique sont inquiétants.
#biodiversite #forets #FiliereBois #CoupesRases
Texte intégral : https://www.canopee.ong/le-media/points-de-vue/politique-forestiere-sappuyer-sur-les-ecosystemes-existants-plutot-que-raser-et-replanter/
Dans un rapport au vitriol, l'Académie des Sciences française dénonce les coupes rases en forêt, qui "engendrent un déstockage massif du carbone du sol (50 %) et génèrent une dette carbone qui n’est annulée qu’au bout de 50 ans après plantation".
Elle recommande au contraire "la sylviculture à couvert continu et le balivage
(transformation de taillis en futaies)."
https://www.academie-sciences.fr/pdf/rapport/060623_foret.pdf
